Un printemps sous le signe du renouveau et des magnolias

Chaque année, les magnolias en fleurs annoncent le retour du printemps avec une éclatante douceur, leurs pétales roses et blancs illuminant les paysages encore marqués par l’hiver. Leur floraison, à la fois brève et spectaculaire, symbolise ce renouveau tant attendu, où tout semble reprendre vie après des mois de dormance. Comme eux, nous avons aussi nos cycles, des périodes plus calmes suivies d’élans nouveaux, où l’on se sent prêt à éclore à notre tour.

Chaque année, les magnolias en fleurs annoncent le retour du printemps avec une éclatante douceur, leurs pétales roses et blancs illuminant les paysages encore marqués par l’hiver. Leur floraison, à la fois brève et spectaculaire, symbolise ce renouveau tant attendu, où tout semble reprendre vie après des mois de dormance. Comme eux, nous avons aussi nos cycles, des périodes plus calmes suivies d’élans nouveaux, où l’on se sent prêt à éclore à notre tour.

Sommaire

Cela faisait longtemps que l’on ne s’était pas retrouvé pour discuter… Discuter de tout et de rien. Mais surtout de mes états d’âmes. Principalement parce que j’en avais marre d’être dans cette humeur morose et triste. Et marre de partager cet état-là. Je ne m’en suis pas cachée, j’ai traversé une période ultra difficile.

Il y a eu mes problèmes de poids, ma forte régression en course à pied (et dans le sport en général), le retour de mes TCA, la dépression, le cyber-harcèlement… Clairement, cela faisait beaucoup. J’avais l’impression qu’à chaque fois que je mettais en place des stratégies pour aller mieux, je me prenais un nouveau coup dans la figure.

C’était compliqué de lutter pour garder la tête hors de l’eau. J’ai eu envie d’abandonner plusieurs fois. Parce que j’avais l’impression que mes efforts ne servaient à rien, si ce n’est à m’épuiser davantage. Un peu comme si j’étais dans des sables mouvants. Quoi que je fasse, je m’enfonçais. Mais aujourd’hui, j’ai envie de te dire que cela va beaucoup mieux. Qu’enfin je me sens sereine et apaisée. Mais surtout que ce printemps qui débute va m’apporter encore plus de sérénité et d’apaisement.

Un état d’esprit plus serein et apaisé

Comme je te le disais, il y a encore quelques semaines, tout me semblait lourd. J’étais en lutte constante contre moi-même. J’avais l’impression d’être enfermée dans une routine qui ne me convenait plus. Je manque d’énergie, de motivation et d’envie pour tout. Écrire, prendre des photos, m’entraîner, sortir voir du monde ou simplement me balader.

Pourtant, sans que je m’en rende compte immédiatement, quelque chose a commencé à changer. Peut-être était-ce simplement le besoin de lâcher prise, d’accepter que certaines périodes sont plus difficiles que d’autres, et qu’elles ne durent pas éternellement.

J’ai aussi pris conscience d’une chose essentielle : je ne pouvais pas attendre que les choses s’améliorent d’elles-mêmes, il fallait que je m’accorde le droit d’aller mieux. Cela a commencé par de petits ajustements dans mon quotidien : ralentir, ne plus me forcer à avancer à toute vitesse, écouter mes envies au lieu de fonctionner en mode automatique. J’ai compris qu’il était essentiel que je lâche prise sur les choses sur lesquelles je n’avais pas d’emprise. Chose bien plus facile à dire qu’à faire. Mais cela m’a fait tellement de bien.

J’ai arrêté de m’inquiéter de tout et de rien… et j’ai commencé petit à petit à retrouver une sérénité que j’avais perdue. Avec l’arrivée du printemps, j’ai ressenti ce renouveau comme une évidence. Comme la nature qui s’éveille après des mois de sommeil, je me suis surprise à retrouver de l’élan, à avoir envie de légèreté, de spontanéité.

Finalement, ce n’est pas tant le changement de saison qui m’a apaisée, mais la manière dont j’ai choisi de l’accueillir. En me laissant porter par cette énergie nouvelle, en acceptant que tout est cyclique, et en profitant pleinement de l’instant présent.

Chaque année, les magnolias en fleurs annoncent le retour du printemps avec une éclatante douceur, leurs pétales roses et blancs illuminant les paysages encore marqués par l’hiver. Leur floraison, à la fois brève et spectaculaire, symbolise ce renouveau tant attendu, où tout semble reprendre vie après des mois de dormance. Comme eux, nous avons aussi nos cycles, des périodes plus calmes suivies d’élans nouveaux, où l’on se sent prêt à éclore à notre tour.
Chaque année, les magnolias en fleurs annoncent le retour du printemps avec une éclatante douceur, leurs pétales roses et blancs illuminant les paysages encore marqués par l’hiver. Leur floraison, à la fois brève et spectaculaire, symbolise ce renouveau tant attendu, où tout semble reprendre vie après des mois de dormance. Comme eux, nous avons aussi nos cycles, des périodes plus calmes suivies d’élans nouveaux, où l’on se sent prêt à éclore à notre tour.

Une reconnexion avec mon corps

Mais ce qui est à l’origine de ce changement d’état d’esprit, c’est cette reconnexion avec mon corps. Après 5 années à grossir de manière incontrôlée et incontrolable, on a enfin mis un maux sur mes mots. J’ai accueilli ce diagnostique du SOPK avec soulagement. Non pas que je sois ravie de devoir gérer avec cette pathologie tout au long de ma vie. Mais maintenant, j’ai enfin des réponses.

Le simple fait de savoir ce qu’il se passait dans mon corps, et surtout que je n’en ai pas responsable, m’a allégé d’un poids immense. Je me suis débarrassée de cette culpabilité de ne pas réussir à contrôler mon poids. Mais aussi de cette frustration de ne pas réussir à progresser en course à pied, et de cette colère contre mon corps. J’ai un SOPK. J’ai une résistance à l’insuline qui s’est développée dans ce contexte de dérèglement hormonal et de terrain familial. Et ce n’est pas de ma faute.

Ce n’est pas de ma faute. Je n’ai rien fait de mal. Je ne saurais comment l’expliquer. Mais prendre conscience de tout cela m’a permis de relâcher toutes ces émotions négatives – cette colère, cette culpabilité et cette honte – pour les remplacer par des émotions bien plus positives. Je me sens plus en paix avec moi-même.

Oui, j’ai encore un gros travail à faire sur moi-même. Je déteste toujours autant mon ventre et mes bras. Et j’espère vraiment que j’arriverais à affiner/tonifier ces deux zones. Cependant, je me sens enfin en paix. Je commence à comprendre ce qu’il se passe dans mon corps. En effet, le SOPK est un gros sac de noeuds de symptômes qu’il faut prendre le temps d’analyser. Je ne suis qu’au début du chemin. Mais maintenant, je sais dans quelle direction avancer. Et le chemin à parcourir me paraît bien moins compliqué.

Je ne saurais dire à quel point je me sens débarrassée d’un point immense sur les épaules. Je ne sais pas si je serais capable de perdre la totalité des kilos pris pendant ces 5 dernières années. Mais je sais que j’aurais fait tout ce que j’aurais pu. Nous avons adapté les derniers détails de mon alimentation avec ma diététicienne, je suis suivie par une gynéco au top. J’ai également modifié ma manière de m’entraîner, en intégrant notamment plus de musculation, pour répondre aux spécificités de mon SOPK. Le reste est hors de mon contrôle. Et je l’accepte.

Chaque année, les magnolias en fleurs annoncent le retour du printemps avec une éclatante douceur, leurs pétales roses et blancs illuminant les paysages encore marqués par l’hiver. Leur floraison, à la fois brève et spectaculaire, symbolise ce renouveau tant attendu, où tout semble reprendre vie après des mois de dormance. Comme eux, nous avons aussi nos cycles, des périodes plus calmes suivies d’élans nouveaux, où l’on se sent prêt à éclore à notre tour.
Chaque année, les magnolias en fleurs annoncent le retour du printemps avec une éclatante douceur, leurs pétales roses et blancs illuminant les paysages encore marqués par l’hiver. Leur floraison, à la fois brève et spectaculaire, symbolise ce renouveau tant attendu, où tout semble reprendre vie après des mois de dormance. Comme eux, nous avons aussi nos cycles, des périodes plus calmes suivies d’élans nouveaux, où l’on se sent prêt à éclore à notre tour.

Les magnolias en fleurs : un décor parfait pour ce nouveau départ

Quand j’ai décidé de faire une séance photo pour marquer cette transition vers le printemps, la place des Célestins s’est immédiatement imposée comme une évidence. Située en plein cœur de Lyon, cette place est un véritable joyau, connue pour ses magnolias en fleurs qui transforment le paysage urbain en une parenthèse enchantée une dizaine de jours à chaque printemps.

Et chaque année, trop prise par ma routine, je loupais cette courte période de floraison.

Dès que j’ai posé les pieds sur la place, l’ambiance m’a transportée. Il y avait cette lumière douce qui filtrait à travers les branches, le parfum subtil des fleurs, et ce calme si particulier, à peine troublé par le passage des promeneurs. Les pétales roses et blancs formaient un décor presque irréel, un tableau vivant où chaque détail semblait magnifier l’instant. C’était comme si la nature elle-même célébrait ce renouveau, m’invitant à faire de même.

Prendre le temps de m’arrêter, d’observer, de respirer profondément… Ces moments, bien que simples en apparence, sont essentiels. Ils permettent de se reconnecter à soi, de ressentir pleinement le monde qui nous entoure, sans précipitation. Dans nos vies souvent rythmées par l’urgence et la productivité, il est rare que l’on s’accorde le droit de simplement être là, sans attente ni distraction. Et pourtant, c’est précisément dans ces instants de contemplation que l’on trouve une forme d’apaisement profond.

Cette séance photo n’était donc pas qu’une question d’image ou de mode, c’était une manière d’ancrer ce sentiment de renouveau, de m’imprégner de cette énergie printanière et d’accueillir pleinement ce nouveau chapitre qui s’ouvre.

Chaque année, les magnolias en fleurs annoncent le retour du printemps avec une éclatante douceur, leurs pétales roses et blancs illuminant les paysages encore marqués par l’hiver. Leur floraison, à la fois brève et spectaculaire, symbolise ce renouveau tant attendu, où tout semble reprendre vie après des mois de dormance. Comme eux, nous avons aussi nos cycles, des périodes plus calmes suivies d’élans nouveaux, où l’on se sent prêt à éclore à notre tour.
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Dommage que la floraison des magnolias soit si courte...

 

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