Prague : it is good to see you again !

Les années Erasmus ont ce parfum de liberté et d’insouciance que l’on ne retrouve jamais tout à fait ailleurs, un mélange d’aventures improvisées, de rencontres marquantes et de découvertes qui façonnent une partie de notre identité. Revisiter ces lieux après tant d’années, c’est comme ouvrir un vieux carnet de souvenirs : tout semble familier, mais on réalise à quel point le temps a filé et combien on a changé. Pourtant, au détour d’une rue ou d’un café, une odeur, un son ou un détail anodin suffisent à raviver cette époque où tout semblait possible. Prague, it is good to see you again.

Les années Erasmus ont ce parfum de liberté et d'insouciance que l'on ne retrouve jamais tout à fait ailleurs, un mélange d'aventures improvisées, de rencontres marquantes et de découvertes qui façonnent une partie de notre identité. Revisiter ces lieux après tant d'années, c'est comme ouvrir un vieux carnet de souvenirs : tout semble familier, mais on réalise à quel point le temps a filé et combien on a changé. Pourtant, au détour d'une rue ou d'un café, une odeur, un son ou un détail anodin suffisent à raviver cette époque où tout semblait possible. Prague, it is good to see you again.

Sommaire

Dix ans. C’est fou comme le temps file et comme certaines villes restent figées dans nos souvenirs. Prague fait partie de ces lieux qui ont marqué une période charnière de ma vie : mon année Erasmus, mes premiers pas d’adulte, mais aussi mon tout premier dossard sur un semi-marathon. Aujourd’hui, je reviens dans cette ville qui m’a tant donné, non seulement pour souffler les dix bougies symboliques de ma pratique de la course à pied, mais aussi pour fermer un chapitre important de mon histoire. Entre nostalgie, running et introspection, ce séjour de quelques jours est bien plus qu’un simple retour en arrière : c’est une façon de mesurer le chemin parcouru.

Les années Erasmus ont ce parfum de liberté et d'insouciance que l'on ne retrouve jamais tout à fait ailleurs, un mélange d'aventures improvisées, de rencontres marquantes et de découvertes qui façonnent une partie de notre identité. Revisiter ces lieux après tant d'années, c'est comme ouvrir un vieux carnet de souvenirs : tout semble familier, mais on réalise à quel point le temps a filé et combien on a changé. Pourtant, au détour d'une rue ou d'un café, une odeur, un son ou un détail anodin suffisent à raviver cette époque où tout semblait possible. Prague, it is good to see you again.

Prague, une ville chargée de souvenirs

Mon année Erasmus : une période marquante

Ma très chère Prague, qu’il est bon de te revoir Voilà presque dix ans que je t’ai quittée après neuf mois d’une relation passionnée. Neuf mois durant lesquels tu m’as totalement transformée. Quand j’ai atterri en septembre 2014, je ne savais pas à quoi m’attendre Je ne savais pas ce que tu allais me réserver comme surprise.

J’étais cette Margaux de 22 ans qui se découvrait, qui n’avait aucune idée de ce dont elle était capable, ni ce qu’elle avait envie de faire de sa vie. Je débarquais pour une année Erasmus. J’étais à la fois ultra excitée à l’idée de vivre cette aventure , et perdue. Perdue parce que je sortais de ma zone de confort, perdue parce que je sautais à pieds joints dans l’inconnu. Perdue parce que je ne m’étais pas encore découverte.

J’étais à une période de ma vie où je me cherchais. Normal à 22 ans, non ? Pendant longtemps, j’ai vécu ma vie en mode pilote automatique. Respecter les consignes, suivre les conseils des adultes de ma vie, être la fille que mes parents voulaient que je sois… Respectueuse, studieuse, faisant des études permettant d’avoir un métier bien rémunéré, ne pas faire de vagues…

Je suivais le rythme. Mais je n’étais pas le chef d’orchestre. J’ai vu dans cette année Erasmus l’occasion de me sortir de mon quotidien. De sortir de ce rythme de vie si familier et si confortable pour essayer quelque chose de nouveau.

Pendant ces neufs mois à Prague, j’ai vécu dans une cité universitaire internationale, j’ai partagé ma chambre avec une autre fille, je me suis fait des amis de différents pays, j’ai appris un paquet d’insultes dans une dizaine de langues…. J’ai découvert les beautés de la République Tchèque (aujourd’hui la Tchéquie) : Cesky Krumlov, Karlovy Vary… J’ai aussi voyagé aux quatre coins de l’Europe centrale et de l’Est : Vienne uste avant Noël, Bratislava, Krakow, Auchswitz, Amsterdam pour le King’s Day…

Et surtout je suis tombée amoureuse de la photographie, j’ai ouvert mon blog et mon histoire d’amour avec la course à pied a vu le jour. Cette année-là, j’ai autant découvert les joies de la vie étudiante en Erasmus (et ses cocktails à moins de 4€), que la discipline d’une prépa en course à pied et les émotions d’une première finish line.

Les années Erasmus ont ce parfum de liberté et d'insouciance que l'on ne retrouve jamais tout à fait ailleurs, un mélange d'aventures improvisées, de rencontres marquantes et de découvertes qui façonnent une partie de notre identité. Revisiter ces lieux après tant d'années, c'est comme ouvrir un vieux carnet de souvenirs : tout semble familier, mais on réalise à quel point le temps a filé et combien on a changé. Pourtant, au détour d'une rue ou d'un café, une odeur, un son ou un détail anodin suffisent à raviver cette époque où tout semblait possible. Prague, it is good to see you again.

Naître et renaître grâce à Prague

C’est à Prague que j’ai connu ma première course officielle, mon premier semi-marathon. Et je n’imaginais pas dans quelle aventure j’allais m’embarquer.

La Margaux d’aujourd’hui a essentiellement vu le jour à Prague entre septembre 2014 et juin 2015. Prague m’a donné le goût de l’aventure, de la liberté et des défis. Prague m’a appris à oser, à sortir de ma zone de confort et à vivre pleinement. Prague m’a permis de me découvrir tout simplement. Et dix ans plus tard me revoilà. Venue pour souffler cette bougie symbolique, célébrer ces 10 ans depuis ce premier dossard. Mais aussi pour clôturer un chapitre de ma vie et prendre un nouveau départ.

Ces dernières années ont été plutôt compliquées pour moi, je l’ai assez répété. Je me traîne un bagage bien trop lourd de colère, de souffrance et de tristesse. Ce bagage, je veux m’en débarrasser. Ou au moins, l’alléger un maximum. Quoi de mieux que Prague pour évacuer tout ce qui empoissonne mon existence ?

En 2015, Prague m’a vue naître. En 2025, Prague me verra renaître. Et c’est le plus beau des cadeaux que je peux me faire. Si tu savais à quel point je suis heureuse de retrouver Prague, son centre historique, son quartier juif, son château et ses trams dignes des films de James Bond. Mais aussi cette université où j’ai étudié et obtenu mon Master 1. La seule chose qui ne me manque pas à Prague, c’est Hostivar Palace, mon ancienne résidence universitaire, plus que spartiate, datant de l’époque communiste…

Courir une deuxième fois le semi-marathon de Prague

J’écris ces lignes alors que je suis encore dans l’avion. Je suis à la fois inquiète face à ce semi-marathon qui m’attend, mais sereine à l’idée de le courir dans cette ville qui m’a tant apporté. Je connais le parcours, je sais exactement le nombre de ponts à franchir…. rien de mauvais ne peut m’arriver. Je n’ai plus qu’à débrancher le cerveau et laisser les jambes faire leur job. Je viens courir une deuxième fois le semi-marathon aussi bien pour célébrer ces 10 dernières années que pour retrouver confiance.

Après ce premier semi-marathon, j’ai connu deux ans et demi de progrès ininterrompus. À chaque course, je courrais plus vite et/o avec plus d’aisance. J’ai couru le marathon de Paris en avril 2017, et les mois qui ont suivis ont été exceptionnels : à chaque 10 km j’explosais mon RP, jusqu’à courir les 10 km de Paris Centre en 57’02, je me suis éclatée sur les 15 km de la Course Royale du Château de Versailles, mais aussi dans la fameuse Côte des Gardes sur Paris-Versailles. Je me suis surprise à courir les 20 km de Paris en 2h08, après avoir passé les 17 premiers kilomètres à papote avec des copines.

Bref, je garde de merveilleux souvenirs de cette année 2017, riche en dossards, en RP et en médailles. Ensuite, cela a été plus compliqué. J’ai envie de renouer avec cette Margaux qui ne craint rien, qui prend le départ de courses sans angoisser sur sa capacité à finir en respectant les barrières horaires. Je veux retrouver cette légèreté et cette tranquillité d’esprit. Que la course à pied redevienne une source de satisfaction et de plaisir, et non une source d’angoisse comme ce fut le cas ces derniers mois. C’est pour cela que je suis venue courir une deuxième fois ce semi-marathon. Et j’espère être capable de tourner la page pour débuter un nouveau chapitre beaucoup plus positif…

P.S. : j’ai ressorti quelques photos dossiers de cette année Erasmus. Dit bonjour au bébé que j’étais à 22 ans !

Les années Erasmus ont ce parfum de liberté et d'insouciance que l'on ne retrouve jamais tout à fait ailleurs, un mélange d'aventures improvisées, de rencontres marquantes et de découvertes qui façonnent une partie de notre identité. Revisiter ces lieux après tant d'années, c'est comme ouvrir un vieux carnet de souvenirs : tout semble familier, mais on réalise à quel point le temps a filé et combien on a changé. Pourtant, au détour d'une rue ou d'un café, une odeur, un son ou un détail anodin suffisent à raviver cette époque où tout semblait possible. Prague, it is good to see you again.
Les années Erasmus ont ce parfum de liberté et d'insouciance que l'on ne retrouve jamais tout à fait ailleurs, un mélange d'aventures improvisées, de rencontres marquantes et de découvertes qui façonnent une partie de notre identité. Revisiter ces lieux après tant d'années, c'est comme ouvrir un vieux carnet de souvenirs : tout semble familier, mais on réalise à quel point le temps a filé et combien on a changé. Pourtant, au détour d'une rue ou d'un café, une odeur, un son ou un détail anodin suffisent à raviver cette époque où tout semblait possible. Prague, it is good to see you again.
Les années Erasmus ont ce parfum de liberté et d'insouciance que l'on ne retrouve jamais tout à fait ailleurs, un mélange d'aventures improvisées, de rencontres marquantes et de découvertes qui façonnent une partie de notre identité. Revisiter ces lieux après tant d'années, c'est comme ouvrir un vieux carnet de souvenirs : tout semble familier, mais on réalise à quel point le temps a filé et combien on a changé. Pourtant, au détour d'une rue ou d'un café, une odeur, un son ou un détail anodin suffisent à raviver cette époque où tout semblait possible. Prague, it is good to see you again.

J'espère que comme en 2015, tu m'apportes que de bonnes choses Prague !

 

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Les années Erasmus ont ce parfum de liberté et d'insouciance que l'on ne retrouve jamais tout à fait ailleurs, un mélange d'aventures improvisées, de rencontres marquantes et de découvertes qui façonnent une partie de notre identité. Revisiter ces lieux après tant d'années, c'est comme ouvrir un vieux carnet de souvenirs : tout semble familier, mais on réalise à quel point le temps a filé et combien on a changé. Pourtant, au détour d'une rue ou d'un café, une odeur, un son ou un détail anodin suffisent à raviver cette époque où tout semblait possible. Prague, it is good to see you again.
Les années Erasmus ont ce parfum de liberté et d'insouciance que l'on ne retrouve jamais tout à fait ailleurs, un mélange d'aventures improvisées, de rencontres marquantes et de découvertes qui façonnent une partie de notre identité. Revisiter ces lieux après tant d'années, c'est comme ouvrir un vieux carnet de souvenirs : tout semble familier, mais on réalise à quel point le temps a filé et combien on a changé. Pourtant, au détour d'une rue ou d'un café, une odeur, un son ou un détail anodin suffisent à raviver cette époque où tout semblait possible. Prague, it is good to see you again.
Les années Erasmus ont ce parfum de liberté et d'insouciance que l'on ne retrouve jamais tout à fait ailleurs, un mélange d'aventures improvisées, de rencontres marquantes et de découvertes qui façonnent une partie de notre identité. Revisiter ces lieux après tant d'années, c'est comme ouvrir un vieux carnet de souvenirs : tout semble familier, mais on réalise à quel point le temps a filé et combien on a changé. Pourtant, au détour d'une rue ou d'un café, une odeur, un son ou un détail anodin suffisent à raviver cette époque où tout semblait possible. Prague, it is good to see you again.

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