Hello, hello ! Comment vas-tu aujourd’hui ? En vacances pendant de d’autres sont encore au boulot ? Ou au contraire toujours en train de travailler en cette fin d’année ? Perso, les vacances, pour moi, c’est ce soir ! Mais bon, je ne suis pas là pour te parler vacances et boulot (pour ça, tu peux toujours aller lire mes deux premiers carnets de voyage de Tenerife ici et ici), mais des dix choses qui m’énervent quand je cours… parce que l’on ne va pas se mentir, je suis une grande râleuse… Je râle pour tout et n’importe quoi ! Et c’est encore pire quand je pars courir !
Entamons donc ensemble cette liste des dix choses qui m’énervent quand je cours…
1. Les piétons qui prennent TOUTE la largeur du trottoir, qui te voient arriver et qui ne s’écartent pas !
Limite, tu es obligé(e) de leur fracasser l’épaule (les côtes dans mon cas #teampetite) pour passer en force… Et même quand ils ne me voient pas arriver, j’aime pas les groupes de piétons qui marchent les uns à côté des autres, plutôt que par petits groupes pour laisser de la place… « pardon, excusez-moi, pardon… Oh mais vous allez le bouger votre cul ! » Ouais quand on m’énerve, je deviens vulgaire ! 😉
2. Le piéton tout seul sur le trottoir mais qui arrive quand même à prendre toute la place
Oui, le genre de personne impossible à doubler… Un coup à gauche, un coup à droite, un coup au milieu… Nan mais meuf/gars, bouge de là : Tu ne vois pas que tu me gènes ! En fait, d’une manière générale, j’aime pas les piétons quand je cours ! Sont toujours en travers de ma route et cassent mon élan ! #jemeprendspourUrsainBolt #cestpasgagné
3. Le lacet qui se défait… mais genre tout le temps !
Tu ne sais pas pourquoi, mais ce jour-là, ton lacet a décidé de te faire chier suer… Pas moyen de le garder en place ! Faut toujours qu’il trouve le moyen de se défaire, te garantissant des risques accrus de jolis et douloureux vols planés… Alors tu décides une bonne fois pour toute de l’attacher ! Sauf que tu serres trop et ton pied se transforme en saucisse violette… #làencorecestpasgagné
4. Le coureur qui ne te rend pas ton bonjour…
Nan mais sérieux, c’est trop compliqué de faire un petit signe de la tête ou de la main ?? Tu as peur que je t’empêche de faire un RP à l’entraînement ?
5. Les écouteurs qui ne tiennent pas en place…
Oui, je fais partie de ceux qui aiment courir avec de la musique dans les oreilles… Et avoir des écouteurs qui ne tiennent pas en place, mais qu’est-ce que ça me soûle ! Du coup, j’ai trouvé la parade : je cours avec un bandeau sur les oreilles. Comme cela, je glisse mes écouteurs dessous et ils ne bougent plus… Bon, ça marche pour l’hiver… J’ai quatre mois pour trouver une solution pour cet été XD
6. Nan mais tu as cru que j’étais aussi chiante que ça !
Courir, c’est mon moment de bien-être, ma pause dans une vie vécue à 200 à l’heure… Donc c’est vraiment le moment où je râle le moins ! Courir me fait du bien. Je m’évade et je m’apaise… Quand on me pose la question « Mais pourquoi tu cours ?« , je sais quoi répondre : je cours parce que j’aime ça, tout simplement.
Mais je conclurais tout de même cet article en disant que tant que je râle, c’est que je suis en bonne santé ! XD
Et toi, qu’est-ce qui t’énerve quand tu cours ?
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Pour tenir les écouteurs, l’été, un bandeau plus léger, ça fait très bien l’affaire, en plus, ça permet d’éponger un peu la sueur et de ne pas en avoir plein les yeux.
Très réaliste ton article ! Et merci pour l’astuce des écouteurs ! J’en ai marre de courir et qu’ils tombent à chaque fois haha.
Bisous et joyeux Noël ! 🙂
De rien ! Contente que mon petit top te plaise ! 😉 Bonnes fêtes à toi aussi !
Bonjour à tous !!! Les piétons, surtout le dimanche, c’est horrible… Pour l’été moi j’utilise un bandeau moins épais que celui pour l’hiver et mes écouteurs ne bougent pas. Ca m’arrive aussi de dire bonjour à certains et quand je vois leur réactions. J’ai l’impression de passer pour un extraterrestre hahaha
XD
Bonjour, j’ai bien ri en lisant cet article, je me suis dit : eh bien t’es pas la seule à grogner sur ces piétons…lorsque je prend le trottoir il y a toujours des « imbécile de stationner sur mon passage » et là je ne fais pas de cadeaux aux rétroviseurs…(quand ce n’est pas moi qui me fait mal…) et les « crottes » de nos amis les chiens….je râle aussi sur les personnes qui tiennent leurs chiens en laisse (ou qui ne les tiennent pas) longue de 5 mètres….Je délaisse du coup les parcours en ville pour les chemins mais il y a toujours à redire, comme toi le coureur qui n’est pas fichu de te répondre un bonjour, et ceux en vélo qui se prennent pour des pros et, que finalement tu doubles dans la première petite montée…Tant qu’on râle c’est qu’on a du souffle donc on est en condition, au top…
Christine
J’approuve !!! Tant qu’on râle, c’est que finalement cela ne va pas si mal 😉 Personnellement, cela me fait passer le temps quand je commence à être en difficulté. Je me concentre sur autre chose que mes douleurs dans les jambes ou ailleurs et ça passe tout seul ! Joyeux Noël !
bon je ne courre pas ! mais cela m’énerve également les gens qui pensent être sur un boulevard et non un trottoir et qui surtout ne bouge pas leurs gros cul en nous voyant arriver.
C’est tellement ça ! Du coup, je fais la bourrine et je passe en force !